Abstract：
A deeper understanding of the factors associated with female genital mutilation remains important in the fight against this practice, particularly in developing countries. This study focused on young women (15-35 years) and pooled analysis using DHS data (2015-2019) for selected sub-Saharan African countries was done. The weighted study sample was 26289 and the data were analysed using univariate, bivariate and multivariate regression analysis. The results are based on information at the time of the survey. The overall prevalence of FGM among young women from the selected countries was 71.5%. Sierra Leone had the highest prevalence (83.7%), followed by Tanzania (80.8%), Ethiopia (73.0%), and Gambia (72.4%). The prevalence in Senegal and Guinea were both below 60%. We found that age, level of education, age at first marriage, parity, employment status, media exposure, and type of place of residence were statistically associated with FGM. This calls for targeted interventions focusing on increasing awareness, education, and empowerment for young women with low socio-economic status.
Une compréhension plus approfondie des facteurs associés aux mutilations génitales féminines reste importante dans la lutte contre cette pratique, en particulier dans les pays en développement. Cette étude s\'est concentrée sur les jeunes femmes (15-35 ans) et une analyse groupée utilisant les données DHS (2015-2019) pour certains pays d\'Afrique subsaharienne a été réalisée. L\'échantillon pondéré de l\'étude était de 26 289 et les données ont été analysées à l\'aide d\'une analyse de régression univariée, bivariée et multivariée. Les résultats sont basés sur les informations disponibles au moment de l\'enquête. La prévalence globale des MGF parmi les jeunes femmes des pays sélectionnés était de 71,5 %. La Sierra Leone avait la prévalence la plus élevée (83,7 %), suivie par la Tanzanie (80,8 %), l\'Éthiopie (73,0 %) et la Gambie (72,4 %). La prévalence au Sénégal et en Guinée était inférieure à 60 %. Nous avons constaté que l\'âge, le niveau d\'éducation, l\'âge au premier mariage, la parité, la situation professionnelle, l\'exposition aux médias et le type de lieu de résidence étaient statistiquement associés aux MGF. Cela nécessite des interventions ciblées axées sur la sensibilisation, l’éducation et l’autonomisation des jeunes femmes ayant un statut socio-économique faible.
Une compréhension plus approfondie des facteurs associés aux mutilations génitales féminines reste importante dans la lutte contre cette pratique, en particulier dans les pays en développement. Cette étude s\'est concentrée sur les jeunes femmes (15-35 ans) et une analyse groupée utilisant les données DHS (2015-2019) pour certains pays d\'Afrique subsaharienne a été réalisée. L\'échantillon pondéré de l\'étude était de 26 289 et les données ont été analysées à l\'aide d\'une analyse de régression univariée, bivariée et multivariée. Les résultats sont basés sur les informations disponibles au moment de l\'enquête. La prévalence globale des MGF parmi les jeunes femmes des pays sélectionnés était de 71,5 %. La Sierra Leone avait la prévalence la plus élevée (83,7 %), suivie par la Tanzanie (80,8 %), l\'Éthiopie (73,0 %) et la Gambie (72,4 %). La prévalence au Sénégal et en Guinée était inférieure à 60 %. Nous avons constaté que l\'âge, le niveau d\'éducation, l\'âge au premier mariage, la parité, la situation professionnelle, l\'exposition aux médias et le type de lieu de résidence étaient statistiquement associés aux MGF. Cela nécessite des interventions ciblées axées sur la sensibilisation, l’éducation et l’autonomisation des jeunes femmes ayant un statut socio-économique faible.
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