The Student Health Initiative for the Needs of Edmonton (SHINE) dental clinic is a student-volunteer-operated clinic offering free oral care to low-income individuals. However, little is known about how SHINE impacts access to care. Drawing on Penchansky and Thomas\' theory of access, this study assessed patient satisfaction to measure access. For further context, patient-reported oral health concerns and alternative oral care options if SHINE were not available were recorded.
The University of Alberta\'s Research Ethics Board (Pro 00101981) approved the study. Surveys adapted from Penchansky and Thomas were distributed over 12 weeks to all presenting patients. Survey data were triangulated with observations. Data were represented using descriptive statistics, and variables were compared using Chi-squared tests of independence.
A response rate of 77% (140/170) was achieved. The survey revealed that patients were generally satisfied with access to SHINE. However, observations revealed physical accessibility barriers. Dissatisfaction was correlated with attending SHINE without receiving treatment. Patients primarily presented to SHINE for pain (55%, 76/139). If SHINE were not available, 38% (46/121) of patients reported they would seek care from an alternative oral health professional, 32% (39/121) through an emergency department or physician, and 27% (33/121) would not attain oral health care at all.
SHINE could be seen as addressing the need for access to oral health care services. The remaining barriers to care include long waiting times and clinic capacity to deliver care. A faster triage process may reduce waiting times. However, SHINE cannot provide more oral health care due to clinic capacity. Lastly, access to clinics such as SHINE may reduce visits to emergency departments for oral health care.
La clinique dentaire « Student Health Initiative for the Needs of Edmonton (SHINE) » est une clinique dirigée par des étudiants bénévoles qui offre des soins buccodentaires gratuits aux personnes à faible revenu. Néanmoins, on sait peu de choses sur l’incidence de la clinique SHINE sur l’accès aux soins. S’appuyant sur la théorie de l’accès de Penchansky et de Thomas, cette étude a évalué la satisfaction des patients pour mesurer l’accès. Pour plus de clarté, les problèmes de santé buccodentaire déclarés par les patients et les autres options de soins buccodentaires, s’ils n’étaient pas offerts par SHINE, ont été consignés.
Le comité d’éthique en recherche de l’Université de l’Alberta a approuvé l’étude (Pro 00101981). Des sondages adaptés de la théorie de Penchansky et de Thomas ont été distribués sur 12 semaines à tous les patients qui se sont présentés. Les résultats ont ensuite été corroborés avec des observations. Les données ont été représentées à l’aide de statistiques descriptives, et les variables ont été comparées à l’aide du test d’indépendance chi carré.
Le taux de réponse a été de 77 % (140/170). Le sondage a révélé que les patients étaient généralement satisfaits de l’accès à SHINE. Toutefois, les observations ont révélé des obstacles physiques à l’accessibilité. L’insatisfaction était corrélée au fait de faire appel à SHINE sans recevoir de traitement. Les patients ont principalement fait appel à SHINE en raison de douleurs (55 %, 76/139). Si SHINE n’était pas disponible, 38 % (46 sur 121) des patients ont déclaré qu’ils iraient chercher des soins auprès d’un autre professionnel de la santé buccodentaire, 32 % (39 sur 121) par l’entremise d’un service d’urgence ou d’un médecin, et 27 % (33 sur 121) n’obtiendraient pas du tout de soins buccodentaires.
La clinique SHINE peut être considéré comme une solution au besoin d’accès aux services de soins de santé buccodentaire. Les autres obstacles aux soins comprennent les longs temps d’attente et la capacité du programme à fournir des soins. Un processus de triage plus rapide pourrait réduire le temps d’attente. Toutefois, SHINE ne peut pas fournir plus de soins buccodentaires en raison de sa capacité d’accueil. Enfin, l’accès à des cliniques comme SHINE peut réduire le nombre de visites aux urgences pour des soins buccodentaires.