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  • 文章类型: Journal Article
    BACKGROUND: Significant variation in both patient case mix and the structure of care in kidney transplantation has been previously described in the United States.
    OBJECTIVE: The objective of our study was to characterize patient case mix, patterns of care, and inpatient outcomes across 5 kidney transplant centers in the province of Ontario, Canada.
    METHODS: This was a retrospective population-based cohort study using health care administrative databases.
    METHODS: The setting is Ontario, Canada.
    METHODS: We included adult (≥18 years) transplant recipients who received a primary, solitary kidney between January 1, 2000, and December 31, 2013 (N = 5037).
    METHODS: Using linked administrative health care databases, we characterized kidney transplant recipient and donor factors, center characteristics, provider characteristics, and inpatient outcomes across transplant centers in Ontario. To compare case mix-adjusted differences in length of stay across centers, multivariable Cox proportional hazards regression was used to obtain hazard ratios (HRs) for each center relative to the average across all centers. Center volume and provider characteristics were added to the models to examine whether these factors explain differences in length of stay across centers.
    RESULTS: We noted significant differences across transplant centers in patient race, cause of end-stage renal disease, body mass index, comorbidities, time on dialysis, and donor type. Mean annual transplant center volumes during the study period ranged between 51.5 (9.3) and 101.7 (23.9) transplants/year across centers (P < .0001). Physician specialty most responsible for in-hospital transplant care varied significantly across centers with the most common combination being nephrologist and urologist. Less than 31 deaths occurred in hospital during the index transplant admission but mortality risk did not differ significantly between centers. Overall, 25.1% of recipients required dialysis in hospital post transplantation (range across centers 18.3%-33.5%, P < .0001) and 24.7% of recipients spent time in the intensive care unit (ICU; range across centers: 5.7%-58.0%, P < .0001). The proportion of participants requiring dialysis did not change with time (P = .12), whereas the proportion staying in the ICU increased steadily over time (P < .0001). The median length of stay in hospital after transplantation ranged from 7 to 9 days across centers (P < .0001) and decreased significantly over time. After adjusting for patient case mix as well as center and provider factors, HRs for length of stay censored at the time of death ranged between 0.75 (95% confidence interval [CI]: 0.69-0.82) and 1.29 (95% CI: 1.20-1.38) across centers. Center volume and provider experience were not independently associated with length of hospital stay.
    CONCLUSIONS: Data were missing (0.8%-18.4%) for certain covariates of interest.
    CONCLUSIONS: This study found significant heterogeneity across kidney transplant centers in case mix, practice patterns, and inpatient outcomes. Future studies are needed to examine the influence of length of stay and practice patterns on long-term outcomes such as patient/graft survival and quality of life.
    BACKGROUND: Des différences marquées dans la classification diagnostique des patients et la structure des soins offerts en transplantation rénale ont déjà été observées et décrites aux États-Unis.
    UNASSIGNED: L’étude visait à dresser un portrait de la patientèle et des modèles de soins offerts aux patients de cinq centres de greffe rénale de la province de l’Ontario, au Canada. On s’est également intéressé à l’évolution de l’état de santé des patients hospitalisés dans ces centres au cours de la période couverte par l’étude.
    UNASSIGNED: Il s’agissait d’une étude de cohorte rétrospective, basée sur la population, et pour laquelle on a eu recours aux bases de données administratives du système de santé. L’étude s’est tenue dans la province de l’Ontario, au Canada.
    METHODS: Ont été inclus dans l’étude 5 037 adultes ayant reçu une première greffe d’un seul rein entre le 1er janvier 2000 et le 31 décembre 2013.
    UNASSIGNED: Nous avons utilisé plusieurs bases de données administratives couplées pour définir les paramètres des donneurs et des receveurs, pour dégager les caractéristiques de chacun des centres de greffe et des fournisseurs de soins, de même que pour suivre les résultats et l’état de santé des patients hospitalisés. Afin de comparer les différences observées dans la durée de séjour à travers les établissements, ajustées en fonction de la répartition des cas, nous avons calculé les risques proportionnels avec le modèle de régression de Cox multivarié, soit les rapports de risque pour chacun des centres de greffe rénale par rapport à la moyenne établie pour l’ensemble des établissements. Le volume de patients traités dans chacun des établissements et les caractéristiques propres à chaque fournisseur de soins ont été intégrés aux modèles d’analyse afin d’établir si ces facteurs avaient une incidence sur les différences observées entre les durées de séjour expérimentées dans les cinq centres.
    UNASSIGNED: Nous avons observé des différences considérables entre les cinq centres de greffe rénale analysés en regard de l’origine ethnique, des causes qui ont mené à l’insuffisance rénale terminale, de l’indice de masse corporelle et des comorbidités des patients, ainsi que du temps passé en dialyse et du type de donneur. Au cours de l’étude, le volume moyen annuel de patients traités a varié entre 51,5 (9,3) et 101,7 (23,9) transplantations par année (p<0,000 1) dans les établissements étudiés. La composition de l’équipe de médecins spécialistes variait de beaucoup d’un établissement à un autre, mais la combinaison la plus fréquente consistait en un néphrologue et un urologue. Moins de 31 patients sont décédés à l’hôpital durant leur admission pour une première transplantation, et le risque de mortalité était homogène pour les cinq centres. Dans l’ensemble, 25,1 % des receveurs ont dû subir un traitement de dialyse à l’hôpital à la suite de la transplantation (entre 18,3 et 33,5 % selon le centre; p<0,000 1) et 24,7 % ont dû séjourner à l’unité des soins intensifs (entre 5,7 et 58,0 % selon le centre; p<0,000 1). La proportion des patients ayant dû recourir à la dialyse n’a pas varié au fil du temps (p=0,12) alors que la proportion de patients admis aux soins intensifs a augmenté constamment (p<0,000 1). La durée médiane du séjour à l’hôpital post-transplantation a varié entre 7 et 9 jours dans les centres de greffe étudiés (p<0,000 1) et a largement diminué au fil du temps. Après correction pour tenir compte du mélange de cas des patients et des caractéristiques de l’établissement et des fournisseurs de soins, les rapports de risque pour la durée du séjour, censurés au moment du décès, variaient entre 0,75 (IC à 95 % : 0,69 et 0,82) et 1,29 (IC à 95 % : 1,20 et 1,38) selon les centres. Ni le volume de patients traités ni l’expérience des fournisseurs de soins n’ont été associés de manière indépendante à la durée de l’hospitalisation.
    UNASSIGNED: Les données étaient manquantes (entre 0,8 et 18.4 %) pour certaines covariables d’intérêt.
    CONCLUSIONS: Cette étude nous a permis d’observer une hétérogénéité importante au sein des cinq centres de greffe rénale analysés en ce qui concerne la composition de la patientèle, les schémas de pratique et les résultats pour les patients hospitalisés. Des études supplémentaires sont requises pour mesurer l’impact de la durée du séjour à l’hôpital et des schémas de pratique sur les résultats à long terme pour le patient, notamment sur la survie du greffon et du patient, de même que sur la qualité de vie du receveur.
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