关键词: S-LANSS chemotherapy-induced peripheral neuropathy (CIPN) neuropathic pain quantitative sensory testing (QST) sensory neuropathy S-LANSS chemotherapy-induced peripheral neuropathy (CIPN) neuropathic pain quantitative sensory testing (QST) sensory neuropathy

来  源:   DOI:10.1080/24740527.2019.1665992   PDF(Sci-hub)   PDF(Pubmed)

Abstract:
Aims: The aim of this study was to define the sensory phenotypes of taxane-induced peripheral neuropathy (TIPN) between neuropathic and nonneuropathic symptoms in a breast cancer population to identify future targets for mechanism-based pain management. Methods: Participants (n = 48) with stage I-III breast cancer. Self-report questionnaires and quantitative sensory testing were used to assess sensory symptoms. The self-report version of the Leeds Assessment for Neuropathic Symptoms and Signs (S-LANSS) divided the groups into neuropathic and nonneuropathic sensory phenotypes. In total, five visits over approximately 8 months assessed each participant from pre-chemotherapy to 6 months post-chemotherapy. Results: Out of 191 nerve assessments, 150 had an S-LANSS <12 defined as \"nonneuropathic\" and 41 scored >12, which was defined as \"neuropathic.\" Numeric Pain Rating Scale (NPRS) was analyzed based on percentages of those experiencing 1+ pain (graded 1/10 or higher) versus no pain. The neuropathic group had 82.9% of 1+ pain vs. 28.7% in the nonneuropathic group (odds ratio = 7.49; 95% confidence interval, 2.76-20.3; P = 0.001). The neuropathic group reported impaired function on the Disability of the Arm, Shoulder, and Hand (DASH) questionnaire (P = 0.002). Heat pain threshold resulted in statistical differences for the left hand but not the right hand in the neuropathic group (P = 0.05). No other quantitative data on warm/cool or cold or vibration demonstrated sensory differences between the groups. Conclusions: Few differences in sensory profiles measured using quantitative sensory testing (QST) were found. Heat pain thresholds were normalized, possibly suggesting that the neuropathic group retained C-fiber and transient potential vanilloid 1 (TRPV1) function. Participants with neuropathic pain demonstrated significant differences with increased pain and decreased function.
Objectif: Déterminer les phénotypes sensoriels associés à la neuropathie périphérique induite par le taxane dans une population de personnes atteintes de cancer du sein, selon qu’elles présentent des symptômes de neuropathie ou non, afin de déterminer les cibles futures pour la prise en charge de la douleur axée sur les mécanismes.Méthodes: Participants (n = 48) atteints d’un cancer du sein de stade I-III. Des questionnaires d’auto-évaluation et des tests sensoriels quantitatifs ont été utilisés pour évaluer les symptômes sensoriels. À l’aide de la version d’auto-évaluation de l’outil d’évaluation des symptômes et des signes de la douleur neuropathique de Leeds (S-LANSS), les groupes ont été divisés en phénotypes sensoriels avec neuropathie et sans neuropathie. Au total, cinq visites échelonnées sur une période d’environ huit mois ont permis d’évaluer chaque participant avant le début de la chimiothérapie jusqu’à six mois après le début de celle-ci.Résultats: 191 évaluations des nerfs, parmi lesquelles 150 participantes ont obtenu une note < 12 pour le S-LANSS, définis comme «sans neuropathie », tandis que 41 participantes ont obtenu une note > 12, définie comme « avec neuropathie ». L’échelle numérique d’évaluation de la douleur a été analysée sur la base du pourcentage de participantes éprouvant une douleur égale ou supérieure à 1 (note de 1/10 ou plus) comparativement à aucune douleur. 82,9 % des patientes du groupe avec neuropathie éprouvaient une douleur égale ou supérieure à 1 comparativement à 28,7% pour le groupe sans neuropathie (RR = 7,49, CI 95 % 2,76-20,3, p = 0,001). Le groupe avec neuropathie a fait état d’une altération du fonctionnement selon le questionnaire DASH (p = 0,002). Des différences significatives ont été observées en ce qui concerne le seuil de la douleur thermique pour la main gauche, mais pas pour la main droite dans le groupe avec neuropathie (p = 0,05). Aucune autre donnée quantitative portant sur la sensibilité aux températures chaudes, tièdes ou froides, ou encore à la vibration, n’a révélé de différences sensorielles entre les groupes.Conclusions: On a constaté peu de différences entre les profils sensoriels mesurés par les tests sensoriels qualitatifs. Les seuils de douleur thermique ont été normalisés, ce qui indique probablement le maintien du fonctionnement des fibres de C et du TRPV1 chez le groupe avec neuropathie. Des différences significatives ont été observées chez les personnes souffrant de douleur neuropathique, dont une augmentation de la douleur et une diminution du fonctionnement.
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