%0 Case Reports %T Management of penetrating thoracic wounds from a dog attack in a Nigerian dwarf goat: A case report. %A Merchán A %A Cribb N %A Mitchell KG %A Zur Linden A %A Valverde A %A Brisson BA %J Can Vet J %V 64 %N 12 %D 2023 Dec %M 38046429 %F 1.075 %X Pet goat ownership has gradually increased in popularity and veterinarians are expected to provide gold-standard treatments for these animals. As in small-animal practice, decision-making regarding thoracic bite injuries is challenging because of the variability in clinical, radiographic, and surgical findings. Mortality rates from dog bite wounds in small animals range between 15.3 and 17.7%, and these cases represent 10% of all traumatic injuries referred to an emergency service; such information is not available regarding pet goats. The aim of this report is to describe a thoracic dog bite wound in a goat. It details the clinical, radiographic, and surgical findings and the repair, and reports the successful outcome, all to provide information to small-ruminant practitioners for treatment or referral. Future retrospective studies will help to determine prognostic factors for outcomes in goats with thoracic dog bite wounds. Key clinical message: Thoracic bite wounds are a challenge to manage, considering the potential severe underlying pathology and the absence of clear external injuries or clinical signs. Referring veterinarians and owners should be advised that goats with the presence of flail chest, pneumothorax, or rib fractures may require a higher level of intervention.
Prise en charge des plaies thoraciques pénétrantes consécutives à une attaque de chien chez une chèvre naine nigériane : rapport de cas. La possession de chèvres de compagnie a progressivement gagné en popularité et les vétérinaires devraient fournir des traitements de référence pour ces animaux. Tout comme dans la pratique des petits animaux, la prise de décision concernant les morsures thoraciques est difficile en raison de la variabilité des résultats cliniques, radiographiques et chirurgicaux. Les taux de mortalité par morsure de chien chez les petits animaux varient entre 15,3 et 17,7 %, et ces cas représentent 10 % de toutes les blessures traumatiques référées à un service d’urgence; ces informations ne sont pas disponibles concernant les chèvres de compagnie. Le but de ce rapport est de décrire une morsure thoracique de chien chez une chèvre. Il détaille les résultats cliniques, radiographiques et chirurgicaux ainsi que la réparation, et rend compte du résultat positif, le tout dans le but de fournir des informations aux praticiens des petits ruminants pour un traitement ou une référence. De futures études rétrospectives aideront à déterminer les facteurs pronostiques des résultats chez les chèvres présentant des morsures thoraciques de chien.Message clinique clé :Les morsures thoraciques sont un défi à gérer, compte tenu de la pathologie sous-jacente potentiellement grave et de l’absence de blessures externes ou de signes cliniques évidents. Les vétérinaires référents et les propriétaires doivent être informés que les chèvres présentant un volet thoracique, un pneumothorax ou des fractures des côtes peuvent nécessiter un niveau d’intervention plus élevé.(Traduit par Dr Serge Messier).